DÉNONÇONS LES CRIMINELS. DISONS NON AU VIOL INFANTIL ET EN MILIEU FAMILIAL

Le nommé Kenmogne Vincent en photo, a commis l’irréparable. Il a violé et sodomisé sa fille biologique de 18 ans. En plus de son forfait, il lui a donné des pilules contraceptives.
 
C’est la tragédie que subit une jeune adolescente de 18 ans dans le quartier Mimboman à Yaoundé au Cameroun. Suite au décès de sa mère il y’a de cela 5 ans, la victime s’installera chez sa famille maternelle jusqu’à ce qu’elle souhaite par amour quelques années plus tard de vivre avec son père dans la ville de Yaoundé car elle n’avait jamais vécu avec lui.
 
Partie de Douala pour la capitale à la rencontre de son père tout semblait jusqu’alors marcher pour la petite orpheline de mère. Malheureusement, des mois après, la gamine de 18 ans contactera sa famille leur livrant l’effroyable témoignage d’abus sexuels dont elle a été victime de la part de son père le nommé Kenmogne Vincent. Elle y décrit des rapports sexuels non consentis de son géniteur et des actes de sodomie. Craignant que celle-ci tombe enceinte le père incestueux lui aurait également remis des contraceptifs afin d’éviter que sa progéniture enfante ses frères.
 
Alertée, la famille se déplacera à Yaoundé confronter le père violeur qui passera aussitôt aux aveux. C’est donc dans une lettre manuscrite que ce criminel a reconnu les accusations portées contre lui demandant pardon à sa fille et à sa belle famille promettant au passage un bouc, une chèvre, de l’huile de palme et un sac de sel afin d’aller laver l’inceste dans son village( coutume traditionnelle ).
 
Un violeur qui abuse de sa propre fille devrait être en prison et non au village entrain de déranger les ancêtres. Ce monsieur devrait répondre de ses actes devant la justice. Il doit être en prison. La victime doit être plus que jamais protégée et suivre des soins psychologiques et médicales. Disons-le, le criminel n’a pas été inquiété par la justice Camerounaise. On se demande bien ce que pense les ministères des affaires sociales, de la promotion de la famille et de la justice dans ce pays d’Afrique centrale ou de plus en plus les enfants sont violés et sodomisés en longueur de journée sous leur nez et la vie semble normale.
 
Que faire? Des suggestions. veuillez-nous les envoyer par mail à l’adresse contact@cad-aid.org ou sur toutes nos plateformes digitales.
 
CI-DESSOUS LA LETTRE DE PARDON DE CE CRIMINEL
CAD AID FOUNDATION VIOL EN MILIEU FAMILIAL